Avant-propos

De longues années à l'étranger m'ont tenu éloigné de ma filleule. Durant cette absence, j'étais en charge d'un pensionnat disciplinaire au coeur de la lande écossaise. Nous ne nous connaissons pas.

Et pourtant me voici en charge de son éducation. Celle-ci est parait-il à reprendre à zéro. Trop de laxisme l'ont rendue, à ce qui m'a été rapporté, insolente, indisciplinée, rebelle, irrespectueuse, paresseuse, etc.

Je suis donc en charge de débarrasser ma filleule de ces affreux défauts qui enlaidissent son image.
24 nov. 2010

postheadericon Punie au cagibi

Ma chère filleule, 
On me rapporte que depuis quelques temps votre conduite laisse à désirer. Vous seriez, parait-il, insolente, paresseuse, et répondriez avec effronterie aux remarques de votre Maître (qui pourtant vous enseigne la botanique avec beaucoup de patience). Je n'attends de vous ni excuses, ni justifications. Vous méritez une sanction très sévère qui vous sera infligée dès mon retour. Je vous condamne à deux jours de « Cagibi ». Durant ces deux jours de pénitence, vous aurez tout loisir de méditer sur les inconvénients de vos indisciplines et sur le juste « recadrage » auquel vous serez soumise. Votre emploi du temps durant ces deux jours sera le suivant : 



Premier jour :
8h précises : vous serez convoquée dans mon bureau, en tenue de pénitente (une longue chemise de nuit de pensionnat) pieds nus et sans aucun sous-vêtement. Vous écouterez humblement agenouillée l'énoncé de vos fautes ainsi que la sentence. 
8h15 : installation dans le cabinet de pénitence. Petite pièce sans fenêtre, avec un pupitre pour écrire vos lignes, un prie-Dieu pour vos séances de méditation, un banc de bois, et dans un coin un pot de chambre pour vos besoins. Au mur, juste en face du prie-Dieu sont accrochés quelques instruments disciplinaires: une cravache, un martinet, une cane, une strap, et une palette à fessée (paddle). Dès votre entrée au cachot, une fouille complète et minutieuse et approfondie sera réalisée pour s'assurer que vous n'apportez pas d'objets illicites durant votre réclusion. Un contrôle de propreté sera à cette occasion effectué. 
8h3O : Avant de vous autoriser à revêtir votre chemise de pénitente, une cuisante fessée vous sera infligée. Fessée à main nue, mais suffisamment sévère pour vos chauffer les fesses pendant un bon moment. 
8h50 jusqu'à midi : au pupitre pour y rédiger vos lignes (copier 200 fois « je ne dois pas être insolente »). 
Midi : repas (pain sec et eau) consommé debout face au mur. 
12h30 : à genoux sur le prie-Dieu pour une correction au martinet (les coups seront comptés à haute voix). 
13h : gymnastique punitive (flexions, pompes, exercices aux espalliers, sautillements etc...) nue, et « à la baguette ». 
14h : Séance de méditation, au piquet. 
15h : Suite des « lignes à copier » et rédaction sur le thème « les bienfaits des châtiments corporels dans une éducation à l'ancienne ». 
17h : fessée (main et tawse) en position penchée, mains aux chevilles. 

18h : Soupe ( à boire « en chienne »,« à la gamelle », à quatre pattes, les mains menottées dans le dos. 
18h30 : Vous serez conduite dans mon bureau, en chemise de pénitente, pour une séance de confession et de repentir durant laquelle vous devrez reconnaître le bien-fondé d'une éducation stricte et des bienfaits des châtiments corporels pour vous recadrer. 
19h : Toilette du soir à la cuvette et au gant de toilette. Friction au gant de crin. Fessée du soir. Suppositoire pour calmer. 
19h30 : Mise au lit en couche-culotte, les mains attachées pour interdire toute tentative d'attouchements coupables. Extinction des feux. 

Deuxième jour : 
7h : Lever. Toilette à la cuvette sous surveillance. 
7h30 : fessée « mouillée » du matin à la main et à la « patemouille » (serviette mouillée). 
8h : Petit déjeuner (thé-biscottes) 
8h30-9h : Jogging dans la cour du château, nue. 
9h : Gymnastique (comme la veille) 
9h30 :  Lavement punitif. Un litre. 
10h : douche sous la direction de la gouvernante et sous ma ma supervision. La gouvernante vous savonnera et vous rincera à l'eau froide. Puis vous frictionnera dans une grande serviette de bain. 
10h30 : Fessée dans le grand salon en présence de tout le personnel du château. A la main, au martinet et à la palette à fessée. 
11h : Visite médicale. Examen approfondi des zones fessières. Si nécessaire application d'un baume apaisant sur les rougeurs. Prise de tension, de tempêrature. Examen gynécologique. 
11h30 – midi : Punitions écrites. 
Midi : Repas (légumes à la vapeur, poisson, fruit, eau) 
12h30-14h : Séance de méditation attachée, nue, debout, en croix face aux instruments de correction. 
14h : tirage au sort de l'instrument et du nombre de coups. Exécution du châtiment devant tout le personnel du château. Vous devrez compter les coups et remercier. 
14h30 : Retour au cachot. Suppositoire calmant. Sieste en couche-culotte, mains et chevilles entravées « en grand écart ».
16h : Grand ménage en chemise de votre cagibi (passer la serpillère à quatre pattes, vaisselle, nettoyer le pot, cirer le cuir des instruments de correction). 
17h : fessée cul nu. 
17h30 : Rédaction de deux lettres d'excuses. L'une à votre Maître et l'autre adressée à moi-même. A l'encre et à la plume. A genoux sur le banc devant votre pupitre, la chemise épinglée afin de laisser les fesses nues. 
18h : fessée au martinet dans la même position. 
18h30 : Comparution en chemise dans le grand salon pour la séance de repentir, en présence de tout le monde. Demande de pardon à genoux. Lecture à haute voix des deux lettres d'excuse. Présentation de la cravache (à quatre pattes, nue, la cravache entre les dents). 
18h45 : Application de la sentence: 20 coups de cravache, comptés à haute voix. 
19h-20h : Piquet ou pilori. Exposée à la vue de tous. 
20h : Fin de la punition (ou retour au cachot en cas de comportement fautif). 

Voilà, chère filleule, un programme complet pour vous remettre dans le droit chemin. Je suis persuadé que ces deux jours de pénitence vous seront bénéfiques et vous rendront plus obéissante, studieuse et respectueuse. Dès à présent vous pouvez commencer à vous atteler à la rédaction de vos deux lettres d'excuse avec suffisamment d'humilité et de repentir pour m'inspirer quelque clémence à votre égard et réduire ainsi le nombre et la sévérité de vos fessées. Lettres que vous rendrez publiques sur votre blog. Les commentaires seront les bienvenus ainsi que toute suggestion concernant cet emploi du temps chargé. 
Votre Parrain.
1 nov. 2010

postheadericon Leçon n°3 : on ne rigole pas de son parrain avec les copines.

C'est les vacances. Et je profites donc de l'absence de mon parrain pour retrouver mes copines. Nous aimons jouer au jeu du "oserais-je". Le principe est simple. Nous nous racontons nos plus belles bêtises. Nous comparons nos punitions. Nous essayons d'être les plus courageuses, sans grande réussite parfois. Et nous prenons plaisirs à rigoler de nos tuteurs respectifs.
Nous avons un forum où nous notons et partageons nos récits. J'y ai donc présenté le mien, toute fière de moi d'avoir su surmonter l'épreuve de l'après-midi sans culotte. Un détail important manquait à mon récit. Mais qu'avez bien pu faire mon parrain de ma petite culotte. Mes copines ne se sont pas faites attendre pour venir commenter ma punition et bien sûr me questionner sur ce manque de détail. C'est donc avec joie que j'ai encouragé la réflexion et soutenu les hypothèses.

Dorine, qui excèle dans le cours de maîtresse de maison, a rapidement pensé à une soirée de gala. Il est vrai que mon parrain, de part sa notoriété, y est souvent convié. Dans son dressing, les costumes sur mesure Dormeuil, Zegna ou Loro Piana, ne manquent pas. En dandy, il aime particulièrement soigner le choix de ces pochettes. Et ma copine Dorine, a très vite fait le lien, en plaçant tout naturellement ma petite culotte joliment pliée en lieu et place d'une pochette (ou pochoir) traditionnelle.
Dans un esprit beaucoup moins raffiné, j'ai profité du jeu de mot que le "pochoir" m'avait inspiré. Je l'ai associé au masque qui permet d'apposer certains motifs décoratifs sur les murs. Soucieuse du confort mental de mon parrain, j'ai donc imaginé une décoration type art moderne dans sa chambre avec quelques motifs créés à l'aide de ma petite culotte. Ce qui m'a conduit à associer ma petite culotte à un bonnet de nuit. Et sur un ton moqueur, j'ai mentionné qu'elle lui permettait ainsi de faire de doux rêves érotiques.
Sia, en grande soeur protectrice, m'a prévenue que mon idée était très provocatrice. Mais cette image de mon parrain avec la culotte sur la tête là tellement fait rire qu'elle n'a pu s'empêcher d'approuver. Et pour bien le mettre en avant, elle n'a pas hésité à le répéter à haute voix. Difficile alors d'ignorer ma moquerie.
Ellie, quant à elle, m'a reproché d'avoir trop vite accepter les cours de soumission qui me sont imposés. Mon intégration dans le club des Chipies passe par une parcours d'initiation. Halloween m'aurait-il joué des tours en me transformant en jeune fille modèle ? c'est bien là l'illusion que je voulais donner à mon parrain, mais sans pour autant le mettre en pratique.

Mon parrain a été mis au courant de l'existence de ce forum. Aussi, il vient régulièrement contrôler nos échanges. Nous le savons bien toutes. Et c'est aussi ce qui donne du piment à notre jeu. Seulement, hier soir, lorsque j'ai du lui rendre compte de mes activités durant son absence, j'ai éprouvé bien des difficultés à lui cacher mes provocations. Je savais qu'il allait le voir et que le silence sur mon acte serait pour moi plus sévèrement puni que mon aveu. Je n'ai vraiment eu le courage de lui dire directement. Mais je l'ai fortement déconseillé de lire mon récit et les commentaires associés. Je venais d'attiser son attention et sa curiosité. Voici un comportement qu'il connait bien chez les jeunes filles qui ont une bêtise à cacher. Et sans attendre plus longtemps, il a lu les commentaires que nous avions posés.

Mon parrain revient vers moi en colère et sans me ménager d'aucune façon me dit : "Vous inscrirez cette insolence sur votre carnet de punition Mirabelle. Je ne vois que la fessée déculottée pour vous en châtier." C'est la première fois que mon parrain me parle de me donner la fessée. Il semble vraiment fâcher après moi et aussi mes copines. Puis il enchaîna : "Vos petites camarades : Ellie, Dorine et Sia estiment qu'elles ont bien de la chance de ne pas m'avoir comme tuteur. Je vois bien une "brochette" de quatre culs nus exposés en attendant la correction bien méritée. Et vous pouvez leur dire ! En attendant vous serez punie à leur place." J'essaie de placer une parole de défense à ma situation : "C'est pas juste que je prenne pour les quatre. J'ai rien fait et c'est moi qui prend tout." Mais il semble ne pas m'écouter provoquant à cet instant un malaise dans ma stratégie de défense. 


"Donc: inscription pour une faute caractérisée "stade quatre" sur le carnet de punitions, et une journée en jupe et sans culotte cette semaine avec exposition en position N°1 à chaque récréation. stade quatre implique: fessée sur la culotte, puis fessée cul nu, puis fessée "toute nue" puis martinet." Pour ceux qui ne connaissent pas la position n°1 : Il s'agit de se tenir debout, jambes écartées, fesses cambrées, mains contre le mur au dessus de la tête. comme ceci. Difficile pour moi d'apprécier la sanction. Et inconsciemment ou par rébellion, j'ose répondre : "pfff, même pas juste !!" Qu'est-ce qui m'a pris du dire ça !!! je sais qu'il ne faut pas le faire, sans quoi on s'attire les foudres. Et forcément ça ne lui a pas échappé. Et sa réplique ne se fit pas attendre : " pas juste ? Alors fessée stade "cinq" la même avec application de 10 coups de cane anglaise toute nue et attachée par les bras au plafond. Satisfaite ? ". Timidement et effrayé devant la punition qu'il venait de tomber, je réponds : " Oui Monsieur ". Je n'ose plus en rajouter. Puis il poursuit comme si cela ne suffisait pas encore : "et je veux une lettre d'excuses publiée sur votre blog en expliquant bien vos fautes et en reconnaissant la justesse de la punition en expliquant bien que c'est vous la meneuse, mais qu'elles mériteraient bien de partager votre punition."


A cet instant, je pense à mes copines que j'ai entraînées avec moi dans cette provocation. Bien sûr on est toutes responsables. Mais comme me l'a rappelé mon parrain, je suis la seule dont il a la charge d'éduquer. Cependant, il serait d'accord pour répartir la fessée à nous quatre. Chacune recevant une étape de la fessée de son choix. La fessée sur la culotte pour la première, la fessée déculottée pour la seconde, la fessée toute nue pour la troisième et la cane ou le martinet pour la quatrième. Même si j'adore mes copines, je crains malheureusement de devoir assumer seule cette punition. Je les comprends bien, même si cela m'aurait arrangé. Je me lance donc dans ma lettre d'excuses publiques.

"Monsieur,


Je reconnais avoir entraîné mes camarades dans un jeu de provocation et de rigolade sur votre personne. J'ai agit par insolence vous manquant ainsi de respect. Je suis bien consciente de la chance que vous m'accordez en ayant accepté de m'éduquer. Et à ce titre, je me dois de vous respecter en tous lieux avec ou sans votre présence. Votre sanction est juste et méritée. Mon effronterie et mon indiscipline doivent être corrigées. Je dois apprendre à devenir plus sage et plus respectueuse. Je vous suis reconnaissante de l'attention que vous m'accordez et vous présente à genoux, mes plus humbles excuses.


Votre filleule"
 

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