Avant-propos

De longues années à l'étranger m'ont tenu éloigné de ma filleule. Durant cette absence, j'étais en charge d'un pensionnat disciplinaire au coeur de la lande écossaise. Nous ne nous connaissons pas.

Et pourtant me voici en charge de son éducation. Celle-ci est parait-il à reprendre à zéro. Trop de laxisme l'ont rendue, à ce qui m'a été rapporté, insolente, indisciplinée, rebelle, irrespectueuse, paresseuse, etc.

Je suis donc en charge de débarrasser ma filleule de ces affreux défauts qui enlaidissent son image.
4 janv. 2011

postheadericon Punition collective

Chère filleule,

Me voici de retour. J'ai pu constater que durant mon absence, vous et vos petites camarades Aline, Lady dark et Elie (pour ne citer que les plus chipies) avez pris du bon temps. De sévères punitions s'imposent pour remetttre tout ce petit monde dans le droit chemin. Dans l'institution que je dirige, il est fréquent que plusieurs fautives soient punies en même temps. Cela se passe à la fin des classes. Les élèves punies sont alignées face au mur dans une grande salle en présence de toutes les élèves du pensionnat et des professeurs (hommes ou femmes). Comme vous pouvez le constater sur ces photos, on leur a demandé de baisser leur culotte et de maintenir l'arrière de leur jupe relevée. Une sévère fessée est alors administrée sur les fesses nues, d'une sévérité proportionnelle à la faute de l'élève. La punie doit compter les claques à haute voix sous peine de voir son compte recommencer à zéro. Cela sert d'exemple à celles qui attendent que leur tour vienne, ainsi qu'aux élèves qui assistent en spectatrices à la punition des élèves fautives "pour l'exemple". J'imagine facilement les derrières nus d'Aline, de Lady Dark, de Elie ainsi que le vôtre, exposés face au mur, en attendant que je les fasse rougir à main nue, mais également aux verges ou au martinet selon la gravité de l'indiscipline. Vous serez punie plus sévèrement que vos camarades de chahut pour avoir prêté une oreille attentive à leurs insolences. Puis ces quatre chipies iront méditer au cagibi sur les conséquences de leurs indisciplines. Que cela vous serve de leçon, ma chère filleule et vous dissuade à jamais de suivre les mauvais exemples.

22 commentaires:

Aline a dit…

Vous trouvez que nous avons une mauvaise influence sur votre filleule Mirabelle, quelle érésie, alors que bien au contraire, nous nous dévouons pour la soutenir le mieux que nous pouvons pendant vos longues périodes d'absence pour votre travail! Nous essayons de la distraire, de lui apprendre de nouvelles façons de vous occuper lors de votre passage dans votre établissement!!! Ce qui n'est pas une tache facile, je vous le garantis!!! Il nous faut montrer beaucoup d'imagination pour cela! Je trouve que vous faites preuve de beaucoup d'ingratitude envers nous!!! Cela me déçoit!!!

Quant à ses demoiselles qui sont punies, si nos fesses ne sont pas plus rouges que les leurs après votre passage, je ne m'inquiète pas outre mesure!!!

Ellie C. a dit…

Aaaaah…, mais c’est que ça pacotille sec du coté des éducateurs de nos jours !
Déjà, c’est écrit dans la présentation, Msieur Baccardi est absent, depuis longtemps, puis il revient puis il s’absente… ça me rappelle cette chanson, laaaa…, vous connaissez ?– ça s’en va et ça revient, c’est fait de tout petits riens…. (Warf, warf… !)

Et maintenant, c’est le cagibi ! Nous v’la bien !
Pour peut qu’il s’absente de nouveau… qu’es ce qu’on va bien pouvoir graver sur les murs pour ne pas s’embêter, tiens… ?

Baccardi a dit…

Aline et Elie vos commentaires me prouvent que je ne m'étais pas trompé sur vous. Vous êtes des super-chipies et un régime très strict vous sera donc appliqué. Sachez, chère Aline, que les fesses de ces demoiselles alignées le long du tableau noir, ne sont pas ENCORE rougies car la fessée n'a pas encore commencé. Croyez bien que les vôtres auront cette belle teinte cramoisie qui les rend si délicieuses.

mirabelle33 a dit…

En voilà une bonne nouvelle pour moi. Le temps qu'il s'acharne à vous chauffer les fesses, les miennes seront épargnées. Promis, je vous soutiendrai les filles.

Anonyme a dit…

Baccardi vous connaissez l'addage qui dit : quand le chat n'est pas la les souries dansent ??? Parce que nous c'est juste pour distraire un peu Mirabelle qui s'ennuie de vous et la faire patienter. Et puis si on n'etait pas ainsi, vous vous ennuyeriez a votre retour, on pense a vous aussi en etant ainsi.

Lady Dark

Ellie C. a dit…

Moi, je suis peinarde... !
J'm'appelle Ellie, avec deux L, et M'sieur Baccardi qui bigle, note toujours 'Elie', avec un L, sur son carnet de punitions... pôvre Elie ! :D

Aline a dit…

Baccardi, vous espérez nous voir des super-chipies, nous essaierons d'être à la hauteur de vos espérances!! Il serait irrespectueux de notre part de vous décevoir!!!

Quant aux fesses des demoiselles, la 2ème photo laisse déviner qu'elle a déjà reçu une toute petite fessée de rien du tout car le pro-fesseur est derrière elle et ses fesses sont ridiculement blanches.

Mais rassurez moi Baccardi, ce n'est quand même pas vous qui fessez ces demoiselles??? j'en serais vraiment déçue!!!

Mira, au vu de la photo, tu n'as pas plus à craindre que nous!!! ;-p

Baccardi a dit…

Aline, désolé de vous contredire, mais ces demoiselles sur cette photo n'ont pas encore reçu la fessée. Il s'agit simplement des "pro-fesseurs" qui, comme leur nom l'indique, préparent le derrière des pénitentes avnt le passage du fesseur. Et croyez moi, quand le "post-fesseur" intervient pour un massage à l'arnica des postérieurs, les rondeurs de ces demoiselles a pris une bien jolie teinte cramoisie. Vous vous en rendrez compte assez vite, chère Aline.

Aline a dit…

Mais Baccardi, si vous êtes désolé de me contredire, ne le faites pas, je ne veux surtout pas que cela vous contrarie!!!

Pour ces demoiselles, si je comprends bien, il faut être 3 pour s'occuper de leurs fesses, un "pré" pour les préparer, LE fesseur pour cramoisir ses jolis fessiers et le "post" pour le massage, dites donc c'est une sacrée entreprise!!!
Certains font cela tout seul!!! ;-p

Anonyme a dit…

CES PETITES FESSES SONT MAGNIFIQUES... MAIS LA PERSONNE QUI VA LES FESSER AURA BEAUCOUP DE TRAVAIL !!!!

Anonyme a dit…

moi j'aimarais bien etre la bas pour me faire punir sa a l'air super et je ferai plein de betises

dominique (chapelond@wanadoo.fr) a dit…

peux te fesser sans problème

Anonyme a dit…

Bonsoir Mirabelle,

Au plus je te découvre et suite à notre dial par téléphone ce matin, au plus je me dis qu'il faut impérativement que vous veniez au week-end organisé par fessestivites.com !!!!!!!!

Sourire sadique de TSM qui est plié de rire rien qu'à penser à ton regard lorsque tu liras ce commentaire.

Mes respects à Ours

Anonyme a dit…

moi sa ne me derangerai pas je ferai des betise souvent

Anonyme a dit…

J'aimerais bien faire partie de ces demoiselles qui offrent leurs fesses à la punition ! Et j'aimerais bien une bonne fessée au martinet.

Anonyme a dit…

c'est trop bon ça ! j'aimerai bien être au milieu de ces punis le mini slip de bain baissé au genoux !
regardez mes fessées déculottées :
http://ccrd.free.fr/video_fessee.htm

Anonyme a dit…

Qui n'a pas rêvé, fille ou garçon, de fréquenter en 1960 un collège privé élégant et sévère où de fréquents (mais légers) châtiments corporels sont administrés aux élèves rebelles, paresseux ou dissipés ?


« 1960 – Jeune garçon heureux dans l’élégant collège »
(roman gratuit en texte intégral – formats Pdf, epub, kindle mobi, etc)

Un ancien orphelin devenu riche oisif, fasciné par les châtiments corporels légers (familiaux ou scolaires) et habité d’un intense désir de parents fermes et aimants, s’invente - sous le prisme de ses obsessions- les faux souvenirs d'une enfance heureuse de collégien.

Un jeune garçon, un élégant et sévère collège privé, des fessées de discipline…
http://www.edition999.info/1960-JEUNE-GARCON-HEUREUX-DANS-L.html#forum1303
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Anonyme a dit…

Extraits

(…)
Comparés à la plupart des parents, ceux de Will sont assez modernes, il y a donc un peu moins de sévérité dans la famille Harts que dans d’autres. Par ailleurs, Will sait combien ils les aiment lui et Nick. À la maison, l’amour c’est souvent, tous les jours. Une merveilleuse tendresse, un grand soleil chaleureux. L’amour entre eux – si évident. Et l’amour pour lui et Nick. Surtout pour lui d’ailleurs : il est certain d’être le préféré en tant qu’aîné. Comment est-il possible d’aimer sérieusement quelqu’un comme Nick, un mioche qui, à dix ans, dort avec son ours en peluche et joue encore aux petits soldats ? Sans compter les nuits, heureusement de plus en plus rares, où il pisse au lit…
Au chapitre des punitions, les choses se passent à la maison comme pendant les orages : de temps à autre, la foudre tombe du ciel. Les parents sont des parents, ils ne se laissent pas faire.
Un après-midi, en les espionnant tandis qu’ils bavardaient sous le grenadier en fleurs, près de la piscine en compagnie d’invités venus prendre le thé, Will les a entendus déclarer avec un extraordinaire aplomb, une mauvaise foi si évidente, que les enfants – surtout les garçons – ont besoin de discerner clairement ce qui est permis de ce qui est interdit, que recevoir punitions et fessées quand ils les méritent les rassure en leur rappelant d’une manière concrète les règles à suivre. D’ordinaire, il juge ses parents plutôt intelligents – très intelligents même, aussi bien l’un que l’autre. Mais ce jour-là il a trouvé une telle affirmation tout à fait stupide : imaginer que des coups de martinet, de baguette ou de brosse sur les fesses puissent rassurer les garçons, c’était bien une idée saugrenue de parents !
Au moins, ça n’arrive jamais d’une façon imprévisible. Les parents se montrent là-dessus d’une loyauté sans faille, toujours ils préviennent un moment à l’avance quand les limites leur semblent menacées. À partir de là, lui et Nick savent qu’ils prennent des risques s’ils se hasardent à continuer : ils entrent dans une zone dangereuse, celle de la répression.
Pour Nick, le plus grand péril vient encore du martinet, de la baguette souple de l’office ou de la petite brosse plate avec laquelle les parents, lui ou elle, savent assez bien lui repasser les fesses quand ils le jugent nécessaire. Will approuve ces châtiments sans l’ombre d’une hésitation : qui serait mieux placé que lui pour savoir combien son hypocrite de frère mérite au centuple chacune des fessées déculottées qu’il reçoit ? En apparence, les règles de la maison ne semblent pas gêner Nick, il paraît même y trouver son compte. Seulement Will le sait bien, ce n’est justement là qu’une simple apparence : en dépit de ses airs de sainte-nitouche, Nick non plus ne respecte pas du tout les règles, loin s’en faut. Malgré ses dix ans, malgré les petits soldats et l’ours en peluche, son frère est un de ces fichus renards qui sait en prendre à son aise avec la loi des parents. Sous couvert de filer droit, il passe en réalité son temps à leur mentir, à ruser et à les tromper sans la moindre vergogne. Il craint les fessées, bien sûr – Nick est un vrai trouillard, là-dessus comme sur le reste – mais il peut se conduire d’une manière incroyablement cynique avec eux, il n’en fait plus qu’à sa tête dès qu’ils ont le dos tourné. Aucune des volées qu’il prend sur leurs genoux ou sous leur bras en braillant comme un écorché vif quand il se fait pincer en flagrant délit de mensonge ou de désobéissance ne pourra jamais l’amender. Même si les parents lui baissaient sa culotte et son slip – autre infâme bien méritée ! – pour lui chauffer les fesses tous les jours, sa conduite scandaleuse resterait exactement la même : ce type est un fieffé hypocrite, un menteur dans l’âme, aucune punition ne changera rien à l’affaire.
(...)

Anonyme a dit…

(…)
La catastrophe est arrivée au début de la première semaine de collège. Il chuchotait avec son voisin de table au lieu d’écouter ; et la punition a fini par tomber.
– On ne bavarde pas ainsi en classe, mon garçon ! Je crois vous l’avoir déjà suffisamment rappelé aujourd’hui…
Il s’est écarté avec un sursaut, levant aussitôt les yeux pour rencontrer loyalement le regard de Madame Crawns.
Elle s’était retournée et avait cessé d’écrire au tableau. Elle le fixait avec une sévérité peu engageante ; l’espace d’une seconde, un très bref éclair est entré en lui. Tout penaud, il a abaissé son propre regard, avec au cœur le vague espoir que l’orage passerait comme les deux autres fois qui avaient précédé. Il a aussi tâché de placer sur ses lèvres un timide sourire d’excuse, un de ces petits sourires contrits qu’il destinait autrefois à Mademoiselle Hawkers en primschool pour la séduire après une bêtise et qui fonctionnaient si bien avec elle. Au vu de la bonne note que Madame Crawns venait de lui décerner la veille en rédaction – la meilleure de toute la classe – il pensait pouvoir s’en sortir sans trop de casse, avec un simple pensum. Un court instant, il s’est même raccroché à l’illusion d’obtenir indulgence et pardon, persuadé qu’elle s’en tiendrait à une ultime réprimande ou qu’au pire elle lui infligerait juste un demi-point de démérite (c’est une de ses manies : en dépit de sa sévérité, et par scrupule de justice, elle distribue des moitiés – parfois même des tiers ou des quarts – de points de démérite, là où d’autres profs n’y vont pas avec le dos de la cuillère).
Mais la chance n’était pas avec lui, les choses ne se sont pas passées ainsi qu’il l’escomptait. Sans doute quelque fatal destin devait-il s’accomplir ce jour-là.
– Mon garçon, venez ici, je vous prie ! a ordonné Madame Crawns.
Le ton était sans réplique ; il a bien senti qu’il fallait obéir, ne pas chercher à discuter. Il a laissé ses affaires, il s’est levé pour traverser la classe soudain silencieuse et a gagné l’estrade. Il l’ignorait encore que la plupart des professeurs, même les moins durs, agissent ainsi en début d’année à Wallesmouth dans les petites classes juniors : un exemple immédiat avec le rotin dès les premières fautes, même les plus légères, pour assurer leur autorité et ne plus devoir y revenir avant un moment.
Embarrassé, il se tenait devant elle, qui le fixait sans aménité. Elle semblait véritablement très en colère contre lui, rien à voir avec ces feints agacements dont elle usait parfois quand elle entendait seulement rappeler les limites.
– Je vous ai déjà averti deux fois tout à l’heure, jeune homme. Et vous n’en avez manifestement tenu aucun compte… Qui n’entend pas doit sentir, vous aurez donc une fessée puisque c’est ce que vous semblez chercher. Tournez-vous, je vous prie ! Penchez-vous et placez vos mains sur le bureau.
Tout en prononçant ces paroles, elle avait saisi la petite baguette souple accrochée à sa chaise par une courte ficelle rouge. Will n’a pas bougé, il ne comprenait pas ce qu’elle exigeait de lui. Il voyait bien qu’elle allait le corriger mais il pensait être emmené dans le couloir pour y recevoir sa punition, comme cela se passait en primschool. Jamais, au grand jamais, il n’aurait pu imaginer qu’un garçon puisse être ainsi fouetté en classe par une femme. Tétanisé, face à la classe muette qui attendait l’exécution, il fixait Madame Crawns comme si elle venait de lui signifier son arrêt de mort. Bien sûr il se savait coupable, bien sûr il méritait la punition puisqu’il avait continué de bavarder sans tenir aucun compte des avertissements successifs ; il se sentait donc prêt à payer sa faute avec courage. Mais pas ainsi. Pas sous les vingt paires d’yeux qui l’observaient…
(…)

Anonyme a dit…

(...)

La correction terminée, Madame Crawns a reposé la baguette sur son bureau en la faisant claquer. Will s’est redressé et il a rajusté sa culotte, étranglé par les larmes qui roulaient sur ses joues, submergé par le sentiment aigu de l’injustice qui venait d’être commise.
Son visage le brûlait beaucoup plus que son postérieur fouetté ; et son cœur bien plus encore que ce visage.
– S’il y a d’autres amateurs pour bavarder au lieu d’écouter en classe, ils viendront recevoir ici la même punition et pleurer comme Monsieur Will Harts ! Et cette fois, je ferai sans doute baisser la culotte ! a-t-elle lancé à la ronde. J’espère que l’avertissement sera entendu…
Elle a surpris le coup d’œil ironique qu’une fille échangeait avec sa voisine ; elle a aussitôt froncé les sourcils dans sa direction.
– Sachez mesdemoiselles qu’il s’adresse également à vous… Les fessées de discipline ne sont pas réservées aux seuls garçons et le bureau de Madame Swerts ne se trouve pas loin… Certaines d’entre vous pourraient bien aller y faire un tour de ma part pour vérifier si elle a toujours sa baguette !
Ses yeux lançaient encore des éclairs tandis qu’elle promenait sur tous un regard sans équivoque quant à sa détermination. Un profond silence pesait dans la classe, ce genre de silence inquiet qui suit les grandes catastrophes. Puis elle s’est retournée vers Will et, du geste, elle l’a renvoyé à sa place.
(...)

Anonyme a dit…

(...)

Les sanctions requises hors des temps de classe seront quant à elles appliquées par les Préfets de discipline sous le contrôle des maîtres d’internat, étant observé que je me chargerai en personne de corriger les fautifs dans les cas plus graves. Gardez bien à l’esprit cette éventualité, jeunes gens, si d’aventure vous éprouviez une quelconque attirance – que j’espère passagère – pour l’inconduite ou la paresse. Nul d’entre vous ne sera à l’abri de cette justice, certes bienveillante mais toujours prompte à intervenir en cas de nécessité... Outre mes fonctions, j’assumais encore personnellement la charge d’une classe de ce collège voici quelques années et je me suis trouvé parfois confronté, comme nombre de mes collègues, au regrettable comportement de certains jeunes esprits rebelles. Ils se jugeaient hors d’atteinte d’une telle sanction mais ils n’en ont pas moins été punis comme ils le méritaient, et je crois ma foi que certains d’entre eux se rappellent encore assez bien certaines salutaires corrections…
À cet instant se produit un flottement dans les rangées de filles ; un autre murmure assourdi s’y propage. Le directeur paraît cette fois légèrement agacé. Il secoue la tête et frappe deux fois dans ses mains – avec une sèche impatience – pour ramener le silence absolu.
– Je précise, s’il en était besoin, que seuls nos garçons sont susceptibles d’être corrigés en classe, ou s’il le faut ici même, dans ce gymnase et sur cette scène, devant tous leurs camarades assemblés chaque fin de semaine, lorsque malheureusement de tels exemples se révéleront nécessaires pour assurer discipline, travail et bonne tenue. Celles de nos jeunes filles qui viendraient à mériter un châtiment corporel par leur inconduite ou leur travail insuffisant ne le recevront naturellement pas en public. Elles seront sanctionnées par le professeur concerné dans son bureau après les classes s’il est de sexe féminin, ou dans le cas contraire par Madame Anna Swerts, laquelle me fait l’honneur de me seconder dans ma tâche. Si l’intervention de Madame Swerts est requise, cette punition leur sera appliquée dans son propre bureau, hors la présence de tout personnel masculin mais dans les mêmes conditions que pour les garçons, avec le même instrument. Et, je le précise pour toutes celles qui en douteraient, avec une rigueur et une fermeté identiques – donc éventuellement sans la protection d’un vêtement si une sévérité particulière s’impose compte tenu du manquement à punir…
(...)

Unknown a dit…

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