26 oct. 2010
Les bonnes intentions de Mirabelle
Monsieur,
Votre lettre m’a donnée bien à réfléchir. Je suis heureuse de faire votre connaissance et de bénéficier de votre éducation. Ici, on dit que du bien de votre méthode. Et de la chance qu’il me soit offert de pouvoir en bénéficier. La lecture du règlement intérieur m’a glacée car je ne suis pas habituée à une telle discipline.
Je reconnais avoir besoin d’être remise sur le droit chemin. J’ai beaucoup de mal à respecter l’autorité. Un défi peut-être, ou une simple rébellion d’adolescente. Les personnes qui m’entourent, me traitent de sotte et de provocatrice, mais cela ne me dérange pas, je n’ai pas peur d’eux.
Vous semblez bien différent d’eux. Plus sévère. Et vos méthodes sont dissuasives. Personne ne m’a imposé un tel règlement. Il me sera bien difficile d’échapper à votre surveillance. Mais comme vous le dites, mon comportement est inadmissible et je dois être recadrée comme il se doit dans notre famille. Je reconnais donc la nécessité pour moi d’être enfin soumise à une éducation stricte.
Votre devise : « qui aime bien châtie bien » montre que votre regard est bienfaiteur. Vous agirez pour mon bien sans injustice dans vos décisions. Toutes les fautes seront pardonnées et oubliées une fois qu’elles auront été sanctionnées comme il se doit. Vous ajusterez la punition à la faute même si cela m’oblige à être dans une situation qui me gêne. Lors des punitions, toute rébellion ou tentative d’évitement ne fera qu’aggraver celle déjà en cours. Car votre éducation est pour mon bien.
Le châtiment corporel fait partie de mon éducation de base. La fessée à la main, au martinet, à la ceinture, à la cravache, avec une strappe ou des orties ont déjà eu raison de certains comportements inadaptés socialement. L’humiliation et l’exhibition ont été utilisées afin que je respecte l’autorité et que je me soumette. Certaines de vos punitions me sont inconnues, mais je conçois parfaitement qu’une telle punition me servira de leçon d’humilité, tout en respectant les règles de pudeur en vigueur.
Je vous présente mes excuses pour le retard pris dans la rédaction de cette missive. L’exercice est difficile et je tiens dès à présent vous montrer ma bonne foi dans mon engagement.
Votre filleule
Mirabelle
Votre lettre m’a donnée bien à réfléchir. Je suis heureuse de faire votre connaissance et de bénéficier de votre éducation. Ici, on dit que du bien de votre méthode. Et de la chance qu’il me soit offert de pouvoir en bénéficier. La lecture du règlement intérieur m’a glacée car je ne suis pas habituée à une telle discipline.
Je reconnais avoir besoin d’être remise sur le droit chemin. J’ai beaucoup de mal à respecter l’autorité. Un défi peut-être, ou une simple rébellion d’adolescente. Les personnes qui m’entourent, me traitent de sotte et de provocatrice, mais cela ne me dérange pas, je n’ai pas peur d’eux.
Vous semblez bien différent d’eux. Plus sévère. Et vos méthodes sont dissuasives. Personne ne m’a imposé un tel règlement. Il me sera bien difficile d’échapper à votre surveillance. Mais comme vous le dites, mon comportement est inadmissible et je dois être recadrée comme il se doit dans notre famille. Je reconnais donc la nécessité pour moi d’être enfin soumise à une éducation stricte.
Votre devise : « qui aime bien châtie bien » montre que votre regard est bienfaiteur. Vous agirez pour mon bien sans injustice dans vos décisions. Toutes les fautes seront pardonnées et oubliées une fois qu’elles auront été sanctionnées comme il se doit. Vous ajusterez la punition à la faute même si cela m’oblige à être dans une situation qui me gêne. Lors des punitions, toute rébellion ou tentative d’évitement ne fera qu’aggraver celle déjà en cours. Car votre éducation est pour mon bien.
Le châtiment corporel fait partie de mon éducation de base. La fessée à la main, au martinet, à la ceinture, à la cravache, avec une strappe ou des orties ont déjà eu raison de certains comportements inadaptés socialement. L’humiliation et l’exhibition ont été utilisées afin que je respecte l’autorité et que je me soumette. Certaines de vos punitions me sont inconnues, mais je conçois parfaitement qu’une telle punition me servira de leçon d’humilité, tout en respectant les règles de pudeur en vigueur.
Je vous présente mes excuses pour le retard pris dans la rédaction de cette missive. L’exercice est difficile et je tiens dès à présent vous montrer ma bonne foi dans mon engagement.
Votre filleule
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